[GC 2013] Bienvenue au #Driveclub

[GC 2013] Bienvenue au #Driveclub

drive-club-playstation-4-ps4-1368777761-011

Cet été, j’attendais la Gamescom pour empoigner les pads next-gen, pour humer les PS4 et XBOX ONE de plus près et pour confronter mes aprioris à la réalité du terrain des consoles de demain. Parmi les titres vendeurs, Microsoft propose FORZA MOTORSPORT 5 sur sa XBOX ONE. Les exclus PS4 ne me réjouissaient pas spécialement et spontanément, je ne pensais pas lui chercher un concurrent sérieux avant la prochaine sortie de son équivalent/concurrent Gran Turismo sur PS4. C’est ici que surgit cet OVNI, #Driveclub. La simulation automobile, à l’instar des objets footballistiques tend à se diviser en genres relativement cadenassés. D’une part, les simulations réalistes, à travers lesquelles le joueur s’adonne à un exercice de pilotage, autant qu’à un jeu à proprement parler. D’autre part, les courses survitaminées où l’objectif est d’en mettre plein la vue et de déclencher des catastrophes à tout va dans un bain d’explosions. Entre ces deux écoles, le style arcade des années 90, tel que proposé par Sega dans ses Daytona USASega Rally, … se fait de plus en plus rare. À cet égard, j’ai une bonne nouvelle les amis, et c’est sur PlayStation 4 que cela arrive.

drive-club-playstation-4-ps4-1368777761-012

Et oui, #Driveclub, c’est une simulation rapide, pêchue et amusante. Conduire pour s’amuser et pour tracer le bitume, aaaaaaaaaah, ça faisait longtemps. Ici, le gameplay s’inspire des meilleures productions du monde de l’arcade, en proposant un pilotage intuitif, surréaliste mais sans « encombrer » l’expérience par des effets spéciaux à explosions ou à missions cambrioleuses déconcertantes. Certes, mon effet d’annonce flaire la subjectivité à plein nez mais zut quoi, ça faisait trop longtemps que j’attendais un jeu où la conduite du véhicule ne nécessitait pas une analyse profonde et trop exigeante de tous les paramètres de course, mais juste de la gestion et la maîtrise de la vitesse. En gros, on freine, on accélère (beaucoup) et on tourne en découvrant les dérapages à l’arrache. Les courbes apparaissent sur le circuit pour vous faciliter la tâche, mais on est loin de la rigueur des simulations les plus exigeantes en termes de réalisme. Vous l’aurez compris, j’ai surkiffé!

drive-club-playstation-4-ps4-1368777761-013

drive-club-playstation-4-ps4-1368101688-004

Techniquement, la next-gen est dans la place. La peinture du véhicule luit de mille reflets, le soleil joue son rôle à la perfection, les décors font des merveilles, tout jouit d’une fluidité qui donne envie et surtout, la manette PS4 rend parfaitement les sensations de conduite. Sur la démo que j’ai pratiquée, je n’ai pas remarqué de ralentissements ou de problèmes physiques quelconques, vivement demain! Toujours au rayon nouveautés, le coté arcade moderne est renforcé par l’utilisation de la caméra pour vous photographier et afficher votre avatar à l’arrière de votre véhicule. Certes gadget, cette option traduit bien la volonté des développeurs de Motorstorm d’insister sur la convivialité et les défis multi-joueurs. Ainsi, parmi les défis en ligne tels que remporter la course, vous serez aussi convié à battre des records de vitesse et autres friandises du genre. Enfin, le titre du soft trouve son explication dans la possibilité de créer son propre club avec des amigos, et de défier d’autres clubs d’aficionados. Sony pousse même le vice en rendant visibles les statistiques de ces événements via les smartphones et autres tablettes.

Pour conclure ce coup d’œil furtif sur ma surprise de la Gamescom, entre vous et moi, ce titre frais à l’ancienne m’a convaincu. Son approche rétro-moderne et son envie d’amuser son public m’ont fait frémir. #Driveclub = PS4. AMEN.

Réactions

  • Gatchan77 le 27/08/2013

    Il y a une video de 10 minutes de gameplay sur jeuxvideo.com ça a l’air pas mal du tout.

    Répondre

Laisse un commentaire

* champs obligatoires